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Hommages

Restez informé(e) en consultant cette section régulièrement. Nous y inscrivons les dernières nouvelles, les récents événements et des chroniques se rattachant à notre Maison commémorative familiale.

Hommage à M. Martin Fillion

Hommage à monsieur Martin Fillion, lu par Mme Margot Fillion, en l'église de St-Luc, le samedi 28 janvier 2023, jour de la célébration commémorative. Un amoureux de la vie, un mari, un papa et grand-papa affectueux, un frère intentionné, un mon oncle taquin, un vaillant travailleur et un bon chum de gars. Une personne avec une grande âme. Nous avons le souvenir de toi au début de l’âge adulte où la musique des Beatles t’accompagnait entre deux parties de tes Canadiens de Montréal. Gardons le fabuleux souvenir de toi en moto, tu étais sans aucun doute, le plus gentil des motards de St-Luc. Abstenons nous de parler de tes conquêtes amoureuses car Elyna a été celle qui les a toutes déclassées. Elle avait l’ingrédient secret. C’est à ce moment-là que le métier de cuisinier est devenu ton choix professionnel. Du Mont Albert à la cuisine de maman, ton inspiration grandissait. Tu as dû te former et te spécialiser en passant par fourneaux de restaurants, d’hôtels à ceux de chantiers dans le nord pour enfin accrocher ton tablier dans un supermarché. Nous étions continuellement impressionnés par ses talents de cuisinier, ses pièces montées et ses gâteaux pour différentes occasions. Rappelons-nous les tartes, les croquignoles pour les petites nièces, les repas familiaux et les pâtés à la viande confectionnés en quantité industrielle. Que dire du pain qui a fait sa grande renommé : le pain Martin. Maitrisant son art, il n’hésitait pas à nous partager ses techniques et ses meilleures recettes. Que ce soit la sonnerie d’un four, les cloches à l’église pour l’angélus, étant fils de bedeau, ou encore l’alarme d’incendie comme pompier; tu répondais à l’appel avec enthousiasme et bonheur. Son passage apprécié comme bénévole dans son village natal, au sein de la Ligue navale et à l’Ambulance St-Jean de Matane a été un enrichissement personnel. Aussi, tu as fait preuve de grande détermination lors de ton dernier emploi en conciergerie. Outre la sculpture sur bois, les collections de cartes postales qui t’ont permises de voyager à travers le monde, la musique, l’histoire en général; les documentaires à la télévision ont pris une place importante et faisaient de toi le meilleur raconteur et un moqueur redoutable. Qui a eu la chance de se faire prédire l’avenir? Se faire tirer aux cartes par Martin était tout simplement sympathique, il y croyait sûrement plus que nous. Martin, homme au grand cœur, toujours souriant, accueillant et rassembleur. Tes garçons et leurs conjointes, les petites-filles ont été sans aucun doute ta plus grande fierté! Que dire du sentiment qui t’habitait lorsque tu nous as annoncé la venue de ton 3ième petit enfant. Nous sommes assurés que tu veilleras sur ta belle petite famille. La maladie a malheureusement pris une grande place dans ta vie. Elle t’a livré un combat sans pause. Tu as fait preuve de résilience, accompagné au quotidien de ta femme. Nous te remercions Élyna pour ta grande bonté. Ayant un rêve que tu n’as pu réaliser tout au long de ta vie; nous souhaitons que là-haut, il y ait la plus belle des boulangeries-pâtisseries avec l’enseigne : CHEZ M. MARTIN! Bon repos Veille sur les tiens Nous t’aimons


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Hommage à Mme Jacqueline Richard Turbide

Hommage à Mme Jacqueline Richard Turbide

Hommage à notre mère Jacqueline Turbide Richard Chère maman, ta famille, tes proches et tous ceux qui t'ont aimée sont ici aujourd’hui pour te dire un dernier aurevoir. Maman a appris dès son jeune âge les valeurs qui ont toujours guidé sa vie et qu’elle a su transmettre aux générations suivantes. Dernière d’une famille nombreuse, elle a beaucoup de neveux et de nièces qui ont presque son âge, elle les aimait tous et ils lui rendaient bien. À ce qu’on m’a dit, Jacqueline savait faire le trait d’union entre les générations. Elle a consacré sa vie à sa famille et à son mari. C’était une femme attentive aux besoins des autres. Elle était femme de tous les métiers, elle aurait pu avoir ses cartes de la FTQ. Elle était bonne couturière et était fière de ses confections, faisait de l’artisanat, du tricot, de nombreux chandails, des bas de laine, elle gardait son monde au chaud. Cuisinière hors pair, elle savait tout faire : le bon pain de ménage, les cretons, la tête fromagée, les bons petits desserts, sans parler de sa bouillabaisse. Quel délice ! Femme de toutes les situations, belle et fière elle a évolué et s’est adaptée au changement. Elle était honnête, franche, aimante, douce et j’en passe. Elle était prête pour toutes les situations. Maman aimait recevoir, on pense que les gènes de ses parents s’étaient bien inscrits dans les siens. Même si tu arrivais à l'improviste, tu étais toujours bien accueilli et réconforté par une bonne soupe. Elle connaissait bien ses enfants, elle savait faire preuve de psychologie avec chacun d’eux quelle que soit la situation. Même si elle était très occupée par toutes ses tâches cela ne l’a pas empêché de s’impliquer dans sa paroisse. Elle a été marguillière, présidente de l’AFÉAS, elle s’est aussi impliquée dans différents comités d’école etc. Elle était pro environnement, elle a fait partie du comité contre la venue d’un méga-dépotoir à Matane. Militante engagée. Elle aimait beaucoup les fêtes, celle de Noël était sa préférée, les préparatifs, les décorations qu’elle préparait avec papa, les rassemblements de famille leur apportaient beaucoup de bonheur. Elle aimait cuisiner ses bons petits plats, certains étaient consacrés particulièrement à cette fête, comme la bûche de Noël et sa mousse aux petites fraises des champs que ses petits-enfants aimaient tant. Grâce à sa détermination, elle nous a appris à foncer dans la vie. Grand-maman au cœur de géant, elle avait toujours une bonne parole pour chacun. Elle s'intéressait à tous ses petits-enfants, elle savait les écouter sans jugement. Elle était fière d’eux, s’intéressait à leurs projets. Il lui restait même encore un peu d’affection à donner à ses arrière-petits-enfants! Elle nous a toujours fait passer avant tout le reste, même quand elle devait davantage penser à elle-même. Nous avons eu une maman extraordinaire, polyvalente, brillante, drôle, etc. Elle nous a donné ce qu’il y a de plus important : de l’amour. Repose-toi maintenant et veille sur nous.


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Hommage Armand D'Astous

Hommage Armand D'Astous

Hommage à mon cher époux Ce n'est juste pour moi qu'un aurevoir mon amour, je remercie la vie de nous avoir donné quarante-six belles années de joie, de bonheur et d'amour que nous avons partagées ensemble, ça n'a pas toujours été facile, on a eu des hauts et des bas, mais qui n'en a pas ! Tu as toujours su mettre de la vie dans notre maison, ton côté enfant, joueur de tours, taquineur et coquin jusqu'à la fin. Ouff j'en aurais des choses à raconter ! Je n'oublierai jamais les fois que j'allais à la chambre pour voir si tout allait bien, j'avançais tranquillement pour ne pas faire de bruit, et ne pas te réveiller et lorsque j'arrivais tout près du lit, tu avais les yeux tout grand ouverts comme si tu était mort, je croyais que le coeur allait m'arrêter, tu m'en as fais des peurs comme ça. Et toi, tu éclatais de rire et je te disais «Ne me refais plus jamais ça!» Tu me répondais «Je te pratique» et tu riais encore et encore grand comique ça ! Comment oublier tous les beaux moments passés à tes côtés. Ta joie de vivre, ta bonté, ta générosité ont fait de toi un homme parfait. Tu as été pour moi un mari, un confident, un enfant et je dirais même mon grand bébé gâté, mon bébé d'amour quoi ! Nous n'avons pas eu d'enfant, mais nous en avons choyé plusieurs je crois. Ils étaient tous nos enfants adoptés de temps en temps, on en empruntait quelquefois. Personne ne va oublier «. Ti-Mand » Toi, l'homme au grand coeur, tu savais. comment te faire aimer, toujours le premier à vouloir aider les autres, mais aussi le dernier à vouloir demander de l'aide. Le travail ne t'a jamais fait peur. Si la maladie n'était pas venue te chercher, tu travaillerais encore, tu disais tout le temps « Tant que j'aurai mes deux bras et mes deux jambes, je vais travailler. » Je sais qu'il fallait que tu n'ailles vraiment pas bien pour aller à l'urgence un dimanche matin. Le résultat de ce rendez-vous nous a frappés de plein fouet. Tu as dû prendre ton courage à deux mains pour affronter ce foutu cancer. Je suis très fiere de toi, car tous les efforts que tu as faits tout au long de ta maladie, surtout de passer des examens par-dessus examens et par la suite faire des traitements qui t'ont soulagé et prolongé un peu. Mais la maladie a pris le dessus sur toi, elle t'a descendu au plus bas, sans oublier la souffrance que tu as ressentie. Pour moi, ça allait trop vite, mais pour toi ce n'était pas assez vite à ton goût, je sais que de te voir cloué à une chaise et de ne pas pouvoir faire quoi que ce soit a été le plus gros choc de ta vie, très dur à accepter tout ça. Et aujourd'hui, je sais que tu ne te voyais pas finir ta vie comme ça, c'est pour ça que j'ai respecté ton choix de la fameuse piqûre à ton compte, l'aide à mourir, tu ne voulais pas souffrir, mais je sais que tu as souffert, les derniers jours ont été difficiles pour toi et pour moi, ton choix était le mien, ça n'a pas été facile à accepter, mais j'aimais mieux te laisser partir que te voir souffrir. On a été tous les deux biens entourés de ta famille et de ma famille. Leur aide a été pour nous très précieuse, ils nous ont donné la force de nous battre jusqu'à la fin, je les remercie du fond du coeur et je sais qu'ils seront toujours là pour moi. Je te demande, Armand, de me donner l'énergie, la force et le courage pour accepter et surtout de passer au travers de cette dure épreuve. Je sais que de là-haut, tu vas continuer à veiller sur moi (comme tu disais si bien ta femme de ménage) et de me protéger. Bon voyage mon amour, merci pour tout ce que tu as fait pour moi. Je vais continuer à avancer, malgré la peine que j'ai de voir partir mon grand bébé gâté à moi. Je ne t'oublierai jamais et tu restera gravé dans mon coeur pour l'éternité. Tu me manques déjà mon amour. Va continuer à travailler avec ton père, il doit avoir une belle couette de bois à bûcher, et va continuer à te faire gâter par ta mère, qui t'attend sûrement avec ta petite poule en chocolat ! Va rejoindre ceux que tu as aimés et de là-haut continue à veiller sur ceux qui t'aiment. Repose en paix mon amour, tu l'as grandement mérité. Ton épouse qui t'aime et t'aimera toujours. Jacinthe Hommage à Armand Bonjour tout le monde et merci d'être là Comme notre beau Armand nous a quittés beaucoup trop vite, nous frère et soeurs voulons lui dire Merci de son passage dans nos vies. D'ailleurs je suis certaine qu'il est ici quelque part prêt à nous faire sursauter en compagnie de Gonzague et Claudette. Alors voici les messages de chacun pour toi Armand frère si cher à nos yeux... Denis... Salut p'tit frère, ton départ n'était pas censé arriver si rapidement. Tu as toujours été un gars vaillant, fier de son travail, honnête et un bon bonhomme sur qui on pouvait compter. On parlait souvent de voyages de pêche et chasse que l'on planifiait de faire à nos retraites, mais la retraite ne semble pas être dans nos priorités. Te côtoyer nous a donné de très bons moments qui resteront graver dans nos mémoires. Bon voyage mon grand fanal. Moi Jocelyne... Ti Man, Ti Man Même si tu étais beaucoup plus grand que moi, tu restes mon tit frère, celui qui était toujours disponible pour tout, surtout jouer des tours épouvantables, faire des farces les une après les autres. Avoir de la visite, remplir ta maison et ta roulotte et ça peu importe l'heure et le moment tu étais toujours prêt et fier de recevoir. Ton rôle...gâter les neveux et nièces et les faire rire. Le mon oncle drôle de la famille. De beaux souvenirs que j'oublierai jamais. Bon voyage mon Armand je t'aime.. Maurice... Te voir partir pour un voyage sans retour me laisse dans une peine immense. J'ai perdu un frère que j'aimais beaucoup et qui était à 11 mois près mon jumeau. Salut Armand, bon repos et tu restera dans mes pensées le reste de ma vie. Salutations à papa et maman que tu as retrouvés A+. Gervais... Mon frère...beaucoup de bons souvenirs de toi mais celui qui restera dans ma mémoire est ta chanson Guantanamera qui peut être ne vous dit rien... mais pour moi est un souvenir de bonheur et de joie. Tout à fait toi... Salut mon blond. Raymonde... Merci à toi de nous avoir donné l'exemple de prendre la vie du bon côté et même parfois à la légère. Ton grand sens de l'humour nous faisait rire à pleurer et d'être toujours les bienvenus chez toi. Les miens se souviendront toujours de leur oncle Armand si festif... Les rencontres de famille ne seront plus pareilles sans toi. Tellement de bons souvenirs qui resteront à jamais dans nos coeurs. Suzanne... Comment te dire Merci... pas trop difficile avec ta générosité, ton amour pour notre petite famille, ta bienveillance envers moi dans mes moments difficiles, ta compagnie toujours réconfortante, ta très grande aide et ton humour à pleurer de joie. Tu étais le grand frère que tout le monde aimerait avoir. Je t'aime, on t'aime... On t'oubliera jamais. Marjolaine... Merci mon beau Nimus, tout simplement parce qu'à chaque fois qu'on se voyait je pouvais ressentir l'amour que tu avais pour moi et à quel point j'étais importante à tes yeux. Armand, un grand Gentleman au coeur d'or aussi...fou fou comme un balai... Ta façon de mettre la main sur la tête et me brasser le toupette en disant long dans notre relation. Moi et les miens on t'aimera toujours. Au revoir et embrasse nos parents qui nous manquent tous. Cher Beau-Frère Toute la famille et moi te disons merci pour tous les beaux moments que nous avons passés à tes côtés. Que de beaux souvenirs nous allons garder de toi Armand. Un homme très rassembleur. On aurait bien aimé que tu restes avec nous le plus longtemps possible, mais la vie en a décidé autrement, on ne sait jamais ce que l'avenir nous réserve. Tu es parti trop tôt et trop jeune. Tu resteras gravé dans nos pensées et dans notre coeur. Tu nous manques déjà. On te dit juste un aurevoir. « Heille ! T-Mand ! » J'espère que tu n'as pas oublié ta trousse, car tu pars pour une bonne secousse. Armand, tu as pris ton billet pour l'aller, mais tu as oublié celui du retour. Bon voyage, cher beau-frère, repose en paix. On t'aime fort La famille Ratté, on ne t'oubliera jamais. Merci Armand. Il y a déjà trois mois, nous avons laissé partir une personne si importante, qui aura su marquer chaque personne ayant croisé sa route. Mon oncle Armand, toi et tes folies vont nous manquer à coup sûr, mais les meilleures resteront gravées dans ma mémoire pour toujours. Vous n'avez pas d'enfant biologique, mais selon moi, vous en avez tant, des enfants de coeur, pour ma part, ma tante et toi êtes en grande partie responsables de la personne que je suis aujourd'hui et j'en serai à jamais reconnaissante. Continue de veiller sur ta femme, une femme très forte et dévouée d'ailleurs, mais ne t'inquiète pas, elle est bien entourée et nous ne la laisserons jamais tomber. Tu peux enfin te reposer, être en paix et continuer de faire des niaiseries comme tu sais si bien le faire, je n'en doute même pas ! Comme j'aime bien le dire, je ne me sens pas perdante dans cette épreuve, je me sens reconnaissante, car bien que j'ai perdu une personne qui m'était si chère, j'en ressors gagnante, car je l'ai eu dans ma vie durant 19 ans. Tout ce qu'il m'a apporté, je ne le changerais pour rien au monde. Je suis choyée. Les seuls qui ont perdu ici sont ceux qui n'ont jamais rencontré mon oncle Armand, qui n'ont pu rire de ses folies, participer à ses niaiseries, écouter ses péripéties, car oui, il en fait des mauvais coups ! Bref, malgré la douleur qui nous habite dernièrement et pour plusieurs années à venir, je me considère chanceuse de l'avoir eu sur mon chemin. Je te laisse maintenant partir, je t'aime et je te remercie pour tout ce que tu as fait pour nous tous, tu avais et auras toujours un si grand coeur et occuperas à jamais une grande place dans mon coeur à moi.


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Hommage à M. Marcel LEFRANÇOIS

Hommage à M. Marcel LEFRANÇOIS

Que dire d’un si grand homme, toujours courtois et de bonne humeur. Affichant son plus grand sourire peu importe les circonstances. Un homme sans malice et au grand coeur. Vous êtes sans aucun doute, un des plus vaillants que j’ai pu connaître et que j’ai eu la chance de côtoyer. Bon repos et veillez sur la famille. Vous nous manquerez - Lindsay Richard Charette


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HOMMAGE À MME JEANNE-MANCE SIMARD

HOMMAGE À MME JEANNE-MANCE SIMARD

Hommage préparé par sa bru Mme Diane Ouellet UNE VIE VOLÉE PAR LA MALADIE Que de souvenirs, Si je pense à elle, j'ai le souvenir d'une femme qui savait rire et n'avait pas peur du ridicule. Elle était surprenante et avait la réplique facile. Je crois bien que Richard et Dany ont reçu ce côté d'elle. Travaillante, souriante, c'était ce qu'elle était avant que la maladie s'empare d'elle. Elle avait une force, une endurance et tout un courage. La vie n'a pas toujours été facile pour elle mais le chemin n'est pas le même pour tous ! Celle qui a tout fait pour que rien n'apparaisse. Soyez fiers d'elle, ne gardons que les beaux souvenirs. C'est ce qu'elle aurait voulu. Bye, Bon voyage belle-maman


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Hommage à Mme Bibiane MURRAY

Hommage à Mme Bibiane MURRAY

Pour toi, notre Bibiane, Nous avons souvenir d'une bonne Maman qui, aujourd'hui n'est pas l'hôtesse de cette rencontre, mais beaucoup plus, tu en es la vedette. C'est dommage d'attendre des moments de tristesse pour dire à un être cher combien on l'aimait, combien on l'appréciait. Bibiane, second enfant d'une grande famille, vous saviez partager. De cette belle famille généreuse, plusieurs sont partis trop tôt. Mais aujourd'hui pour toi le temps était bien choisi. Ta présence joyeuse restera dans le coeur de chacun et ils se rappelleront les bons moments qu'ils ont eus avec toi. Ne serait-ce que lorsque tu offrais le café, toi si recevante ¨Restez donc à dîner, disais-tu !¨. Tu en as accommodé plus d'un dans la grande maison que ton cher Lucien avait construite. De la place, il y en avait, frère, soeur, nièce, cousine, étudiant. Chaque année, tu te préparais à les recevoir. Le temps passe et voilà que le beau chalet deviendra ta maison et encore là tu prends plaisir à recevoir ton monde. Venez donc souper, venez donc de soir, on va jouer aux cartes. Que de belles soirées et de beaux moments pour plusieurs. Et que dire sur ce que tu aimais plus que tout, à la belle saison. Vous avez sûrement deviner : ramasser des fraises, framboises et faire le fameux marché aux puces. Acheter et revendre, pas pour l'argent, mais pour le plaisir et le bonheur que cela lui procurait était incalculable. À toi Bibiane, qui a mélangé le temps des saisons, embrasse-les pour nous.


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Hommage à M. Bertrand SANTERRE

Hommage à M. Bertrand SANTERRE

HOMMAGE À GRAND-PAPA LE LUNDI 12 OCTOBRE 2020 PAR STÉPHANIE SANTERRE Sur le nombre respectable de 95 années de vie, chacun a pu connaître une facette de personnalité de Bertrand, soit en tant que parent ou ami. Aujourd’hui, j’ai l’honneur de vous partager la mienne en tant que petite-fille. J’ai connu un grand-père Fier Quelle joie pour lui de voir s’agrandir sa famille, soit en : Accueillant chaleureusement dans la famille de nouvelles brus et de nouveaux gendres. Cependant, pour les gendres, ils savaient que son affection était gagnée le jour où ils prenaient le surnom de « bonhomme » Et en devenant, comme il s’appelait lui-même, « grand-papa laitte » pour ses arrière-petits-enfants. J’ai connu un grand-père Populaire, apprécié et respecté Effectivement, il était un homme public. Quand je me présentais, souvent un questionnaire m’était passé : Question 1 : Es-tu une Santerre de Baie-des-Sables ? Question 2 : Es-tu parentée avec les Santerre du garage au bout du village ? Question 3 : Es-tu la petite-fille du « ptit Bertrand »? Quelle joie et fierté quand je répondais oui à la dernière. Eh oui il était de courte taille mais tellement attachant et respecté. J’ai connu un grand-père Qui avait le pouce vert Du printemps à l’automne, il s’affairait à fleurir et verdir sa cour. Il était très heureux sur son tracteur à tondre sa pelouse digne d’un terrain de golf tellement elle était fournie. Je suis convaincue qu’il donnait beaucoup de soins à ses arbres fruitiers car à l’automne c’était la récolte miraculeuse. J’ai connu un grand-père Respectueux des traditions En effet, les traditions familiales étaient importantes pour grand-maman et lui. Je me rappelle du Jour de l’An avec la liqueur aux cerises de la microdistillerie installée à la cave, la bénédiction paternelle et le poulet frit Kentucky qui goûtait toujours meilleur à la maison qu’au restaurant. Faut pas oublier Pâques avec, soit son crabe à volonté ou son brunch digne de la cabane à sucre – il y en avait pour tout le monde! J’ai connu un grand-père Qui savait s’amuser Je me rappelle du récit de ses vacances avec grand-maman en roulotte au fabuleux Caraquet où il avait joué du violon avec ses nouveaux amis acadiens. Je me souviens aussi de mon initiation au skidoo dans le sentier des amoureux de motoneige sur le 10 forces où il me répétait des milliers de fois « garde ta droite » Mais que de souvenir du chalet à Saint-Noël où toute la famille se rencontrait les dimanches. Il devait mettre son chapelet sur la corde à linge parce que le beau temps et les coups de soleil, étaient toujours au rendez-vous. Le chalet était spécialisé aux rencontres familiales : Pour les repas du soir qui finissaient en épluchette de blé d’inde et salade à la crème, les nombreuses tables de pique-nique étaient disponibles et sans oublier le passe plat bricolé dans le salon. Aussi, le petit terrain de baseball où la dimension n’était pas un hasard. Pour grand-papa, les petits et les grands devaient avoir la même chance de faire un coup de circuit puisque le champ centre n’était pas très loin du monticule. J’ai connu un grand-père Travaillant et persévérant Il a travaillé au garage jusqu’à ses 92 ans. Pensées spéciales pour ses collègues, Donald et Sébastien. J’ai des souvenirs de lui dans le fond du garage ou monté sur sa chaise, ti casse sur la tête, accoté sur l’aile du pickup capot ouvert à examiner le moteur. Que dire de la flotte de véhicules dont le matériau de prédilection était le bois genre le snowtrack et la fameuse remorque, même la stéchine était finie en simili bois Il était persévérant mais quand un bris mécanique venait à bout de lui, on pouvait entendre les « c’est pas diable », les « Hi batêche » et les « c’est l’enfer dans le purgatoire » J’ai connu un grand-père Talentueux et vedette Eh oui, il avait un sideline :Garagiste le jour et violoneux le soir. J’étais trop petite pour participer aux soirées mais je me rappelle qu’il parlait de ses performances en compagnie de Ghyslaine au Club des raquetteurs ou au Cordon Rouge. Des soirées, il en a eu partout! Des fois, au Jour de l’An, il nous faisait l’honneur de jouer un tit rigodon. J’étais vraiment fan finie de mon grand-père.   Je me fais le porte-parole de deux cousins qui m’ont touchée par leur publication Facebook. J’ai obtenu la permission de vous les citer : De Michael : Ce matin à l’âge de 95 ans un grand homme nous a quittés Un père Un grand-père Un arrière-grand-père Un époux Un modèle Un mécanicien Un travaillant Un passionné Un musicien Un fondateur Un homme respecté UN GRAND HOMME Merci grand-papa pour tout ce que tu nous as légué et partagé Après 95 ans de projet de travail et de plaisir Tu peux maintenant te reposer D’Isabelle : Un si grand homme... contenu dans un si petit Monsieur Grand-maman l’appelait son « petit mari » malgré qu’il soit... son grand amour Aujourd’hui vous êtes parti rejoindre notre ange qui vous attendait les bras ouverts et le sourire dans les yeux... Que dire de cette vie grandiose! Votre rire va me manquer... Je vous aime Papi Votre Framboise, votre « Nez » Xxx Je vous aime Grand-Papa. Votre « les mon Ninie » de Rimouski-ki


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Hommage à Mme Jacqueline DESJARDINS

Hommage à Mme Jacqueline DESJARDINS

J'AI APPRIS J'ai appris qu'il n'était pas toujours suffisant de pardonner aux autres. Il faut apprendre à se pardonner soi-même. J'ai appris qu'il ne faut pas être trop persistant à connaître un secret, le savoir peut changer notre vie pour toujours. J'ai appris que les diplômes affichés au mur ne font pas nécessairement de nous des humains décents. J'ai appris qu'il est très difficile d'être gentil pour ne pas blesser les sentiments d'autrui tout en restant ferme pour ce que l'on croit. J'ai appris que l'on ne peut pas forcer quelqu'un à nous aimer, tout ce que l'on peut faire, c'est d'être quelqu'un qui peut être aimé. J'ai appris que l'on continuait d'avancer même après avoir pensé qu'il était impossible de le faire. J'ai appris que l'on pouvait faire une petite chose en un court instant et que celle-ci pouvait nous donner des maux de tête pour la vie. Au seuil de ma mort, j'ai appris que la vie valait la peine d'être vécue. Auteur inconnu


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HOMMAGE À M. Jean-Claude WATTS

HOMMAGE À M. Jean-Claude WATTS

Entre les semences et les moissons une vie a passé C’est pour nous un honneur de rendre hommage aujourd’hui à notre père Jean-Claude, un homme droit qui a aimé la vie. Il a été un modèle de plusieurs façons : bon travailleur, rapide et efficace, père présent à ses enfants, grand-père intéressé et fier de ses petits-enfants et un mari aimant pour notre mère. Nous rendons hommage aujourd’hui à un homme qui a donné le meilleur de lui-même pour sa famille. NOTRE PÈRE ÉTAIT UN HOMME DE FAMILLE ET DE SERVICE Il est né dans une famille de 8 enfants et a donc appris très vite l’importance des valeurs familiales, du partage, de la solidarité, du respect des autres et de la débrouillardise. Il nous a transmis ses valeurs par ses paroles mais surtout par ses actions. En effet, il aimait recevoir toute sa famille à table, discuter avec nous de nos emplois, de nos automobiles, du sport et que dire de la politique. Il était toujours prêt à venir nous aider, à jouer au golf ou aller marcher sur la terre familiale. Il aimait nous « traîner » partout quand nous étions enfants que ce soit sur le tracteur, dans l’étable ou dans les champs. Nous sommes toutes déjà tombées endormies à ses côtés pendant qu’il vaquait à ses occupations. Notre père était créatif et avait toujours d’ingénieuses idées pour faciliter son travail ou adapter l’environnement selon les besoins. On peut dire qu’il était vraiment disponible pour nous tous. NOTRE PÈRE ÉTAIT UN MARI AIMANT Il a grandi sur la ferme familiale dans la paroisse de St-Ulric où il a rencontré sa complice de vie Carmen. Ils s’épouseront en 1967 et ensemble, ils vivront 53 années de mariage. Il a aimé sa femme et l’a protégée toute sa vie, modèle de fidélité, de respect et d’amour pour nous. Notre père était un père et un grand-père présents. Les années de mariage seront marquées par la venue de 4 enfants, Nancy, Sonia, Lucie et Marie-Noëlle, et de 5 petits-enfants, Rachel, Louis, Mathilde, Audréane et Émile qu’il a aimés. Il a passé des heures à les bercer étant tout-petits et plus âgés, il a inventé de multiples jeux pour les amuser. Il était présent lors des anniversaires, activités, événements de chacun et venait nous donner son mot d’encouragement. Les études avaient aussi une grande importance pour lui et il s’intéressait au cheminement de chacun. Pour ses enfants, il a travaillé dur afin d’offrir la possibilité de poursuivre leurs études. Il était fier de sa famille et il a permis à 4 femmes de s’épanouir dans leur vie personnelle et professionnelle. NOTRE PÈRE ÉTAIT UN HOMME ESPIÈGLE Il aimait taquiner, jouer des tours et raconter des histoires qu’il était rarement capable de terminer car il pouffait de rire avant le dévoilement du « punch ». Notre père aimait tellement rire, jaser, sa voix forte qui caractérise la famille des Watts retentissait dans la maison. Il était social et s’intéressait aux gens au point tel qu’il pouvait nommer la généalogie de chaque famille de sa communauté il aimait parler aux gens, se présenter, tenir la porte aux gens âgés et handicapés afin de leur faciliter la vie. NOTRE PÈRE ÉTAIT UN HOMME IMPLIQUÉ Homme d'action, il s'est impliqué au sein de sa communauté. Il a été marguillier, garde paroissiale et maire de la paroisse de Saint-Ulric. Homme d'amitié, il a joué au hockey-bottine, au ballon-balai avec les castors de Tartigou. À la retraite, il s'est découvert une passion pour le golf qui était un bon prétexte pour aller jaser avec ses amis. Il aimait se promener en moto-neige, jouer aux cartes, aux darts, aux quilles, prendre du bon temps avec les siens. NOTRE PÈRE ÉTAIT UN TRAVAILLEUR PASSIONNÉ Il a travaillé avec acharnement sur sa ferme familiale dont il était si fier. Il nous a montré à travailler fort, à s’occuper des animaux et des récoltes. Il nous a appris qu’il n’y avait pas de problème mais seulement des solutions, qu’une tâche n’était pas une corvée mais un accomplissement et que le succès ne se gagne pas facilement. Il nous a transmis le plaisir de travailler en équipe, combien de fois nous l’avons entendu siffler et rigoler durant la besogne quotidienne. Il avait sa propre expression : « donne-moi ça d’une main » pour dire que cette tâche peut se faire facilement. Il aimait le travail bien fait, rapide et surtout efficace, inutile de dire qu’il ne lésinait pas sur les efforts! NOTRE PÈRE ÉTAIT UN HOMME DROIT Franc, curieux, ingénieux, généreux qui a toujours suivi ce qu’il croyait bon. Il nous a toujours fait sentir importantes, il était un bon conseiller. Les valeurs qu’il nous a enseignées ne s’apprennent pas dans les livres. Notre père n’a pas construit d’empire, mais il a touché le cœur de chacun des membres de sa famille, une priorité pour lui. Même décédé, il reste vivant en chacun de nous. NOTRE PÈRE SAVAIT REMERCIER Merci aux parents et ami(es) qui, de près ou de loin, se sont déplacés pour visiter notre père à la maison ou à l’hôpital. Merci pour tous les services rendus, pour les appels et les bons mots qui lui ont permis de rester combatif jusqu’à la fin. Nos remerciements vont aussi au personnel de l’Hôpital de Matane et tout particulièrement à l’équipe du 4e étage, des soins palliatifs, des services à domicile et d'oncologie. Merci pour votre dévouement. La famille désire remercier également le personnel du Centre hospitalier de Rimouski pour les soins prodigués et les chaleureuses attentions accordées. Nous sommes privilégiés de pouvoir être aussi bien entourés et d’avoir tous ces gens présents aujourd'hui et qui pour la plupart ont fait plusieurs heures de route, afin de venir honorer sa mémoire et soutenir notre famille. Entre les semences et les moissons une vie a passé *********************************************** HOMMAGE DE SON FRÈRE AÎNÉ ALBERT Hommage à Jean-Claude Bonjour à tous En tant qu’aîné de la famille, par pas beaucoup, par dix mois et demi seulement, j’aimerais dire quelques mots en hommage à notre frère Jean-Claude. Affection et gratitude, oui, affection et gratitude! Voilà les sentiments que je ressens, que nous ressentons tous aujourd’hui à la mémoire de Jean- Claude. Depuis le départ de maman et papa de la maison et ensuite pour l’au-delà, Jean-Claude est devenu notre centre familial, le point d’ancrage de la famille comme le disait si bien Véronique dans son courriel. À l’été, on aimait bien faire un petit tour à St Ulric, dans le deuxième rang de Tartigou, pour voir notre coin de terre natale, pour voir Jean-Claude et surtout l’écouter nous raconter toutes sortes d’anecdotes et histoires concernant la vie paroissiale de St Ulric. Il aimait raconter, il était un bon conteur et il avait une mémoire phénoménale. Il se rappelait de nombreux détails. Jean-Claude a travaillé très fort sur la ferme et avec l’aide et le support de Carmen, il l’a fait énormément progresser. Il a commencé très jeune. Déjà, à la petite école du rang, il a manqué beaucoup de jours d’école pour aider papa durant le temps des labours, des semences et des récoltes. Il n’y avait pas de tracteur dans ce temps-là, c’étaient des chevaux, le tracteur est arrivé en 1950. Nous, ses sœurs et frères, nous lui sommes tous des plus redevables, moi le premier. C’est grâce à lui et aussi à maman et papa que nous avons tous pu faire des études. Merci Jean-Claude, un gros merci. Tu mérites bien de te reposer. Pour terminer, j’aimerais offrir à Carmen, sa très dévouée compagne de vie, ainsi qu’à sa famille, mes plus vives et profondes condoléances. Bon courage Carmen. Requiescat in pacem, Jean-Claude. ********************************************* HOMMAGE PAR SA SOEUR CLAUDETTE Ti-Jean a occupé une place très importante dans nos vies. Il fût le témoin et le gardien de nos souvenirs d'enfance et il est demeuré notre ancrage au sein de la famille ainsi que le pilier. Il nous a vus quitter le nid familial un à un et maintenant, il est le premier à quitter ce bas monde pour aller rejoindre nos parents et son petit-fils Émile. Cette fois, c'est nous qui le voyons partir après un difficile combat où ses forces l'ont quitté petit à petit. Il fut un grand frère (un petit frère pour Albert) turbulent, enjoué, taquin à ses heures et qui aimait rire. Ce qui décrit le mieux notre frère, c'est son courage, sa vaillance, sa détermination et son sens du devoir. Ti-Jean était de cette race de défricheurs, de bâtisseurs qui ont aidé à ériger leur coin de pays, et ce, humblement et sans le savoir. Sa récompense était de voir sa famille heureuse, ses belles récoltes et ses animaux en bonne santé. Dès sa plus tendre enfance, il fût un travailleur acharné. Il a appris avec nos parents à cultiver la ferme familiale transmise de père en fils et il fut la troisième génération de Watts à bichonner ce petit coin de terre. Très jeune, il a même labouré avec les chevaux et il a développé un savoir-faire digne de mention en ce qui à trait à cultiver et à donner des soins aux animaux. Il n'était pas rare qu'il se levait la nuit pour aider une vache à mettre bas, comme son père l'avait fait avant lui. Il n'y avait pas d'heure précise à ce chapitre. Le dévouement était son guide, les animaux et la terre devaient avoir tout ce dont ils avaient besoin. Jour après jour, sans se lasser, il a su s'adapter aux changements en agriculture et il n'a pas hésité à agrandir et à moderniser sa ferme année après année. Il a élevé son travail à un niveau très professionnel avec sa compagne de vie et coéquipière Carmen. C'était devenu une entreprise qui demandait de grandes connaissances et des compétences dans différents domaines et vous avez bien réussi. Paul Claudel a écrit: Interroge la vieille terre et toujours, elle te répondra avec le pain et le vin. Du pain, chez-nous, il y en avait beaucoup mais le vin c'était plus rare. Un psaume qui convient à cet homme de la terre: c'est le Psaume 22 versets 1 et 2. : 1 Le Seigneur est mon berger ; je ne manque de rien ; 2 il me fait demeurer dans les verts pâturages. S'il y en a un qui pouvait s'occuper des verts pâturages, c'était bien lui. Il l'a fait avec amour. Comme il a su faire ses tâches tout au long de sa vie. Là où tu es présentement, cher frère, si la grande horloge éternelle ne fonctionne plus, si la porte du paradis a besoin d'huile dans les pentures, ne fais rien, même si nous avons hâte de te retrouver, nous ne sommes pas trop pressés de faire le saut dans l'au-delà. Au revoir Ti-Jean. Tes sœurs et tes frères. ****************************************************** HOMMAGE DE SA PETITE-FILLE RACHEL Pour toi mon grand papa Grand-papa, les mots ne seront jamais suffisants pour te dire tout ce que j'aimerais ou te dire comment tu es important pour moi et que je t'aime. Mais je tenais à te remercier. Te remercier d'avoir toujours été là pour nous, mon frère et ma soeur et moi. Merci pour ta patience et ton amour. Tu m'as appris l'importance de la rigueur, persévérance et du travail bien fait. Tu es la preuve de force et de courage. Je t'admire depuis mon jeune âge. Merci pour tes histoires que tu nous a partagées. Je pense à celles de ta famille, de ta jeunesse, de la ferme, il en avait tellement ! Je me souviens des moments passés en motoneige où tu me montrais ta maison d'enfance et que tu me racontais le temps à la ferme. Je me souviens aussi de mes étés à la maison avec vous, d'aller cueillir des noisettes, des voyages en camping, des parties de golf et de tous les autres beaux souvenirs que j'ai pu avoir avec grand-maman et toi. J'aimerais un jour devenir aussi belle personne que tu es. Je t'aime beaucoup mon grand-papa. Rachel - ta petite-fille.


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Hommage à M. Paul TREMBLAY

Hommage à M. Paul TREMBLAY

Célébration à la mémoire de Paul Tremblay, 22 août 2020. (Hommage par Mme Graziella Dion) Merci à tous et à chacun d’être là, près de nous et de la famille de Paul, pour se rappeler le chemin parcouru avec lui. Nous disons souvent en parlant de parents ou d’amis décédés qu’ils nous ont quittés. Mais si nous croyons que le corps n’est que le véhicule de l’âme, eh bien, ils sont toujours là, près de nous. Donc, Paul continuera de vivre dans notre mémoire et dans nos cœurs. Tous ceux et celles qui l’ont côtoyé savent qu’il a eu un parcours de vie très difficile. Il a vécu la pauvreté, l’abandon, l’indifférence, la solitude et toutes sortes de douleurs physiques et morales. Jean-Paul et moi, on l’a considéré comme un fils, tantôt s’efforçant de l’aider, tantôt épuisés de l’aider, tantôt révoltés de voir la souffrance s’agripper après lui. Tantôt, on admirait son courage, tantôt on voyait le découragement l’envahir. Toujours, on priait Dieu pour qu’il vienne à son secours mais jamais on a eu l’idée de l’abandonner. A travers tous les écueils, sa foi en une PUISSANCE SUPÉRIEURE lui a donné la force de continuer. Il était toujours prêt à donner, à donner même le peu qu’il avait. Son humour nous surprenait même dans des épreuves parfois difficiles à surmonter. Ses problèmes de santé ont été des occasions pour ceux et celles qui l’entouraient de tirer des leçons de courage et d’acceptation. « SON MODE DE VIE » comme il le répétait si souvent, était le phare qui éclairait sa route et la boussole invisible qui lui indiquait le chemin à prendre. Depuis plus de 40 ans, le fait de s’accrocher à son moment présent lui a permis de ne jamais quitter le chemin de la sobriété et de faire grandir sa spiritualité. Paul était un amant de la nature. Quand il avait la chance de demeurer à proximité d’une forêt ou d’une rivière, il aimait faire de longues promenades pour observer les écureuils et les oiseaux. Il en a gardé d’ailleurs très longtemps dans son appartement de Québec. Il se plaisait à les appeler ses petits amis qui comblaient sa solitude. Il aimait aussi la culture amérindienne. Son logement était orné de dizaines d’objets qui lui rappelaient son passage au village huron et son amitié avec plusieurs membres de diverses communautés autochtones. Toutes les personnes qui l’ont connu ressentaient chez lui un profond désir d’aimer et d’être aimé. A travers les frustrations, la maladie et les injustices de la vie, on pouvait toujours le rencontrer sur le palier du cœur. Le 20 avril, Seigneur, tu l’as ramené vers toi. Merci de nous avoir donné la force, la patience et l’amour pour l’accompagner afin qu’il sente ton amour à travers nous. Il est réconfortant de penser que ton AMOUR l’enveloppe et qu’il est maintenant heureux, pleinement heureux. Salut Paul, on se retrouvera un jour dans l’amour de Dieu! JEAN-PAUL ET GRAZIELLA. PRIÈRE Comme prière, Jean-Paul et moi, avons choisi la voix de nos frères des Premières Nations. Leur poème de bénédiction était la lecture préférée de Paul. Pure comme un matin blanc de décembre, elle saura vous dire mieux que nous, que le temps ne compte pas, la distance non plus quand l’amour est bien enraciné dans le cœur de ceux et celles qui s’aiment. GRAND ESPRIT, Bénis mon regard, qu’il soit clair comme la pleine lune, Bénis mes pensées les plus secrètes, Qu’elles soient pures et franches comme la glace sur le lac, Bénis mon travail, Qu’il soit fécond comme le maïs dressé dans le champ, Bénis ma famille, Qu’elle soit joyeuse comme les loutres et travaillante comme les abeilles, Bénis mon temps, Qu’il coule calmement comme la rivière après la débâcle Bénis mes larmes, Qu’elles soient douces comme celles de l’érable au retour du corbeau, Bénis ma vie, Qu’elle soit à jamais entre tes mains puissantes et généreuses. GRAZIELLA ET JEAN-PAUL.


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